La mémoire est une faculté qui oublie. Comme Gabrielle Destroismaisons aime nous le rappeler, le feu c’est chaud, c’est dangereux. Ça ne nous empêche pas de nous sacrer la main dedans juste pour voir ce que ça fait encore et encore tel Sideshow Bob qui pile sur un râteau. Sommes-nous condamnés à répéter les erreurs du passé ? Les archives de l’humanité sont remplies de facepalm dont on ne tire apparemment aucune leçon et c’est pour notre plus grand plaisir que Charles Beauchesne se joint à Xavier Cadieux pour nous présenter la version graphique des Pires moments de l’histoire, cette ode à la bêtise à travers le temps.

Détails intéressants
Xavier Cadieux, c’est un nom qui est déjà connu dans le milieu de la BDQ. Illustrateur imaginatif aux fils qui se touchent pour produire du matériel trippy prisé sous la microdose, il tire son épingle du jeu avec son style graphique distinctif un tantinet psychédélique et tout en rondeur. Son humour décalé coïncide bien avec celui de Beauchesne et cela donne un rendu parfois cauchemardesque comme dans des rêves lucides que même l’intelligence artificielle ne pourrait imiter. Il est fort à parier que cette association permettra à un plus grand nombre d’apprécier son travail.

Détails intéressants
Xavier Cadieux, c’est un nom qui est déjà connu dans le milieu de la BDQ. Illustrateur imaginatif aux fils qui se touchent pour produire du matériel trippy prisé sous la microdose, il tire son épingle du jeu avec son style graphique distinctif un tantinet psychédélique et tout en rondeur. Son humour décalé coïncide bien avec celui de Beauchesne et cela donne un rendu parfois cauchemardesque comme dans des rêves lucides que même l’intelligence artificielle ne pourrait imiter. Il est fort à parier que cette association permettra à un plus grand nombre d’apprécier son travail.

Le mot de la fin
Tout a été dit. En fait, non. Ce qui est beau d’internet c’est que c’est un dépotoir d’informations où l’on dompe toujours plus d’octets. On ne sait jamais sur quelle gogosse on va tomber et si ça a de la valeur. Tel un antiquaire qui peut fleurer la bonne affaire, l’humoriste utilise son talent de vulgarisateur pour nous apprendre des choses à notre insu qui nous aide à se rentre intéressant lors du prochain potluck au bureau. Quoique ça peut être un buzzkill de se faire rappeler que tout n’est que chaos et que la Terre est à feu et à sang pendant qu’on complimente des petites boulettes dans la sauce Diana.
Fin




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